Hier, j'ai décidé d'embarquer pour l'île de Gorée.
Chance ou pas, François aussi...
Sur ma route, des traces de sa présence, comme pour être sûr de ne pas le rater...
Chance ou pas, François aussi...
Sur ma route, des traces de sa présence, comme pour être sûr de ne pas le rater...
L'Assemblée Nationale |
Merci les gars ! |
J'embarque donc normalement pour cette île, classique touristique de Dakar : petite île chargée d'histoire (point de départ d'esclaves) et village joli et très tranquille...
L'arrivée vers l'île aux Esclaves... |
Le Port de Gorée |
Après avoir fait le tour de l'île ou presque (une rue était déjà bloquée), nous voici tous autour de l'embarcadère, attendant les messies. Tambours, bières, "objets d'art", discussions, tout est bon pour faire passer le temps.
Voici donc Monsieur Normal, Mme Twitter et le président sénégalais, ainsi que la foule habituelle de journaleux, crânes d'oeuf stratégiques et femmes de com' hyper affairées. Pour faire couleur locale, quelques militaires harnachés, des boubous par dizaines, dont certaines avec des airs de fées avec leurs couvre-têtes coniques.
Vous me direz alors : et pourquoi Gorée, île circéenne ?
Outre le sentiment d'être transformé en bétail (bon, c'était des cochons en Méditerrannée...) lorsqu'il y a foule, la baguette magique de la sécurité nous a de plus parquer pendant au moins 2 h dans un périmètre restreint. Le triangle plage/place principale/rue empruntée par vous-savez-qui était assez frustrant, bloquant 90% de l'île pour rien et surtout nous empêchant de rentrer avant que Messieurs voulussent bien dégager. Une fois partis, la foule s'est ruée sur l'embarcadère afin de ne pas rater la "chaloupe", forçant les militaires à sortir les muscles pour régulariser le flux.
Tout est bien qui fini bien, mais la prochaine fois, j'éviterais peut être de caler mon agenda sur celui de M. Normal, car avec lui, les choses ne le sont pas tout à fait !
Outre le sentiment d'être transformé en bétail (bon, c'était des cochons en Méditerrannée...) lorsqu'il y a foule, la baguette magique de la sécurité nous a de plus parquer pendant au moins 2 h dans un périmètre restreint. Le triangle plage/place principale/rue empruntée par vous-savez-qui était assez frustrant, bloquant 90% de l'île pour rien et surtout nous empêchant de rentrer avant que Messieurs voulussent bien dégager. Une fois partis, la foule s'est ruée sur l'embarcadère afin de ne pas rater la "chaloupe", forçant les militaires à sortir les muscles pour régulariser le flux.
Tout est bien qui fini bien, mais la prochaine fois, j'éviterais peut être de caler mon agenda sur celui de M. Normal, car avec lui, les choses ne le sont pas tout à fait !
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