7/01/2014

A paixão do futchebol

Que ce soit à Rio, Brasilia ou Salvador (et même à Sao Luis), on les croise partout les supporteurs : français, américains, belges, russes, grecs, bosniens, costaricains ou même vénézuéliens...

Mais c'est bien sûr sans parler des Brésiliens eux mêmes, jour de match ou pas. Difficile d'imaginer un tel taux de portage de maillot. C'est simple, pas un regard ne peut y échapper, il y a toujours quelqu'un pour porter la Seleção sur son dos (jaune ou bleu). 

Jeune, très jeune, vieux, très vieux... Riche ou pauvre, chacun a sa version du maillot, plus ou moins conforme.

La passion, elle se vit aussi sur la plage, par les agents de sécurité, en attendant le bus, dans le bus...


Les FIFA go home ou les graffiti clamant que la Copa n'aura pas lieu paraissent bien dérisoires désormais que le spectacle est enclenché.

Question sécurité, on est servi : police transit, police, police militaire, armée, helicos et même bateaux au large à Rio et Salvador... On est également accueilli par toutes les variantes de religions du renouveau, qui distribuent moults tracts.

À Lençois, la victoire du Brésil s'est transformée en fête du village avec barricada endiablée et capoeira dans le marché municipal.
Bon cela dit, le mythe du Brésil qui s'arrête complètement à chaque partie du Brésil ne se vérifie pas, il y a qqs irréductibles, peut être les auteurs des grafitti !

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